
Vers un monde hyper-industriel?
Note de lecture de l’ouvrage de Pierre Veltz, « La société hyper-industrielle – Le nouveau capitalisme productif » (Le Seuil, 2017), par Baptiste Petitean, directeur de la Fondation Res Publica.
Dans la perspective d’une série de travaux sur le thème des effets économiques et sociaux de la révolution numérique, la Fondation Res Publica recommande la lecture du dernier livre de Pierre Veltz. L’auteur, ingénieur et sociologue, présente une nouvelle configuration de la mondialisation fondée sur l’avènement d’un capitalisme non pas post-industriel mais hyper-industriel, et s’attaque, optimiste, aux idées reçues sur le déclin du site productif français.

La concorde civique face au spectre de la guerre civile
Note de lecture de l’ouvrage de David Djaiz « La guerre civile n’aura pas lieu » (Editions du Cerf, février 2017), par Baptiste Petitean, directeur de la Fondation Res Publica.

Où va la francophonie?
Compte rendu réunion Res Publica du 12 décembre 2016 : Quel avenir pour la francophonie ?
Par Franck Dedieu, responsable du développement de la Fondation Res Publica.

La démographie européenne dans tous ses états
Par Franck Dedieu, responsable du développement de Res Publica.
Un démographe, un économiste, un essayiste et un journaliste, tous réunis par la Fondation Res Publica à la Maison de la chimie le 24 octobre dernier sous la présidence de Jean-Pierre Chevènement. « L’hiver démographique européen » selon la formule d’un des orateurs, soulève des questions majeures sur le plan politique, économique et sociétal.

L’euro contre l’Europe
Note de lecture du livre de Joseph Stiglitz « L’euro, comment la monnaie unique menace l’avenir de l’Europe » (Les Liens qui Libèrent, septembre 2016) par Franck Dedieu, responsable du développement de la Fondation Res Publica.

La fin d’un modèle économique, le nouveau départ d’un autre?
Par Franck Dedieu, responsable du développement de la Fondation Res Publica.
Suite au colloque du 4 juillet intitulé « Les évolutions du contexte économique mondial », avec les interventions de Jean-Pierre Chevènement, Gaël Giraud, Jean-Luc Gréau, Jean-Michel Naulot et Jean-Michel Quatrepoint.
Chacun des intervenants s’accorde sur les limites d’un système économique, utra-financiarisé, tenu à bout de bras par des banquiers centraux bien trop accommodants. De nouveaux modèles complémentaires ou alternatifs peuvent émerger. Pour le meilleur ou pour le pire. Une relance écologique pour sortir de la déflation ? Un capitalisme dit californien dominé par l’internet américain, un retour des pouvoirs publics pour enfin domestiquer la finance ?

Où va l’Afrique ? Pour une approche réaliste
Par Baptiste Petitjean, directeur de la Fondation Res Publica.
Suite à la matinée d’échanges (8 juin 2016) autour de Sylvie Brunel, Professeur à l’université Paris-IV-Sorbonne, auteure de « L’Afrique est-elle si bien partie ? » (Sciences humaines ; 2014), Grand Prix 2015 du Festival de géopolitique de Grenoble.
Sylvie Brunel a plaidé devant la Fondation Res Publica pour une approche réaliste de l’analyse du continent africain : si émergence il y a, elle est sélective et incomplète, tant les inégalités de développement et les carences structurelles persistent. Cette situation économique et sociale se traduit sur le plan géopolitique par la rencontre de deux lignes de fractures essentielles : l’arc de crise sahélien et la « diagonale du vide ».

La politique française est verrouillée par le vote des seniors
Une tribune de Julien Landfried, membre du Conseil scientifique de la Fondation Res Publica, parue sur Slate.fr, lundi 21 mars 2016. Les retraités pèsent de manière démesurée sur la définition de l’offre politique.

Election présidentielle : une réforme inopportune
Une tribune de Jean-Michel Naulot, Membre du conseil scientifique de la fondation Res Publica, parue dans Libération le 17 février 2016. Une proposition de loi qui vise la «modernisation» des règles d’accession à l’Elysée et remet en cause notamment l’égalité des temps de parole doit être discutée ce mercredi au Sénat. Un texte qui semble aller à l’encontre de son but : le renouvellement de la classe politique.