Les dynamiques de développement françaises et allemandes
La place à part qu’occupe la France au Maghreb explique qu’elle ait été la plus proactive dans les tentatives de rapprochement de cette région avec l’Europe. Toutefois, les outils d’intégration qu’offre l’UE, habilement maîtrisés par l’Allemagne en Europe de l’est, ne semblent pas adaptés à la France dont la sphère d’influence nord africaine se situe hors du cadre institutionnel européen. Étude cartographique réalisée pour la Fondation Res Publica par Kevin Limonier, allocataire de recherche et moniteur d’enseignement supérieur, Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8) et David Amsellem, doctorant-allocataire de recherche au Centre de Recherche et d’Analyse Géopolitique (CRAG), Université Paris VIII.
Le Maghreb, une interface stratégique pour la France
De par sa position géographique et son histoire, le Maghreb fait office de véritable trait d’union entre l’Europe et l’Afrique. Mais pour la France, cette région constitue également une zone d’investissement et de coopération de premier ordre, où se mêlent défis économiques et géostratégiques. Étude cartographique réalisée pour la Fondation Res Publica par Kevin Limonier, allocataire de recherche et moniteur d’enseignement supérieur, Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8) et David Amsellem, doctorant-allocataire de recherche au Centre de Recherche et d’Analyse Géopolitique (CRAG), Université Paris VIII.
Les tentatives d’intégration d’un Maghreb à forte potentialité économique
Le Maghreb offre de nombreuses perspectives économiques pour l’Europe. Plusieurs tentatives de rapprochement ont eu lieu ces dernières années, sans pour autant créer une véritable dynamique. Des rivalités entre les pays du pourtour méditerranéen l’expliquent en parti. Étude cartographique réalisée pour la Fondation Res Publica par Kevin Limonier, allocataire de recherche et moniteur d’enseignement supérieur, Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8) et David Amsellem, doctorant-allocataire de recherche au Centre de Recherche et d’Analyse Géopolitique (CRAG), Université Paris VIII.