Le moment républicain en France?
Colloque du lundi 11 décembre 2017, à 9h30, à la Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007.
L’Ecole au défi de l’intégration républicaine
Colloque du lundi 27 novembre 2017, à 14h30, à la Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007.
Max Gallo, la fierté d’être français
Colloque du mardi 21 novembre 2017, à 18 heures, à la Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007.
Le projet des indépendantistes catalans est éradicateur
Une tribune de Jean-Eric Schoettl, conseiller d’Etat honoraire, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel, membre du Conseil scientifique de la Fondation Res Publica, parue dans Le Figaro le 13 octobre 2017.
L’Europe doit tirer la leçon de cette résurgence imprévue d’une pathologie ancienne. A force d’expulser la nation de notre modèle du vivre ensemble, le nationalisme revient au galop sous des formes dégradées, miniaturisées quoique virulentes, mesquines (nous ne voulons pas payer pour les autres), mais aussi haineuses.
Accueil par Jean-Pierre Chevènement
Accueil de Jean-Pierre Chevènement, Président de la Fondation Res Publica, au colloque « Civilisation, avec ou sans ‘s’? » du 22 mai 2017.
Régis Debray
Intervention de Régis Debray, Écrivain, philosophe, fondateur et directeur de la revue « Médium », auteur de « Civilisation. Comment nous sommes devenus américains » (Gallimard, mai 2017), au colloque « Civilisation, avec ou sans ‘s’? » du 22 mai 2017.
Michel Onfray
Intervention de Michel Onfray, Écrivain, philosophe, auteur de « Décadence » (Flammarion, 2017), au colloque « Civilisation, avec ou sans ‘s’? » du 22 mai 2017.
La diplomatie religieuse de l’Arabie saoudite: une « industrie idéologique »
Note de lecture du livre de Pierre Conesa, « Dr. Saoud et Mr Jihad. La diplomatie religieuse de l’Arabie saoudite » (Robert Laffont : 2016), par Baptiste Petitjean, directeur de la Fondation Res Publica.
Pierre Conesa, dans son dernier ouvrage, propose un décryptage inédit de la politique étrangère du Royaume d’Arabie saoudite. Au service d’un projet planétaire de propagation du « salafisme-wahhabisme », cette dernière a également pour objectif de préserver le règne de la maison des Saoud. Néanmoins, la diplomatie religieuse saoudienne s’inscrit dans un contexte de rivalités régionales exacerbées, menaçant de déboucher sur une « guerre de religions » au sein même du monde musulman [1].