Etude cartographique réalisée pour la Fondation Res Publica par David Amsellem, Docteur en géopolitique au Centre de Recherche et d’Analyse Géopolitique (CRAG – Université Paris 8) et Kevin Limonier, docteur en géopolitique à l’Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8).
et Sénégal notamment). C’est également là que la France a multiplié les interventions militaires ces dernières années pour venir en aides à des pays amis.
Le reste de l’Afrique subsaharienne en revanche semble lui échapper, à l’exception de Madagascar (forte présence française) et de Djibouti (base militaire). La présence culturelle de la France se fait également plus rare, de même que les Investissements directs étrangers français (à l’exception de l’Angola, la Namibie et l’Afrique du Sud). D’importantes marges de progressions peuvent ainsi être réalisées par la France dans ces territoires.
Mais l’Afrique subsaharienne est un territoire instable. Plusieurs coups d’État ont lieu ces trois dernières années seulement, et le continent reste marqué par de nombreuses guerres et crises sévères, créant de larges zones d’instabilité qui échappent à la souveraineté des États.
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