Accueil de Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica, au séminaire du 30 novembre 2009, Que sont devenues les couches populaires ?
Il s’agit d’approfondir la réflexion entamée lors d’un colloque que nous avions tenu il y a presque deux ans sur les nouvelles fractures sociales (1).
Je suis très heureux d’accueillir Stéphane Rozès, président de « Conseil, analyse et perspective » (Cap), enseignant à Sciences-Pô et à HEC, auteur de « La nouvelle France » (2) dans un article du Débat de septembre 2007, Christophe Guilluy, géographe consultant, coauteur avec Christophe Noyé de « L’atlas des nouvelles fractures sociales en France » (3) que nous avions déjà entendu et apprécié lors de ce colloque consacré à la nouvelle géographie politique et sociale française, enfin Gaël Brustier, coauteur avec Jean-Philippe Huelin de « Recherche le peuple désespérément » (4) sous-titré : « Le peuple, mutation politique, histoire électorale, représentation médiatique et idéologique », aux éditions Bourin. Madame Marie-Françoise Bechtel, vice-présidente de la Fondation Res publica et membre de son conseil d’administration interviendra dans le débat qui va suivre.
Je donne tout de suite la parole à Christophe Guilluy … qui nous dira s’il a retrouvé la trace des couches populaires.
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1/ « Territoires et classes sociales en France dans la mondialisation », Colloque de la Fondation Res Publica, tenu le janvier 2008
2/ « La nouvelle France » S. Rozès, Le Débat n°146 (Gallimard),
3/ « Atlas des nouvelles fractures sociales en France », Guilluy Christophe & Noyé Christophe, Autrement, 2004.
4/ « Recherche le peuple désespérément », Gaël Brustier, Jean-Philippe Huelin, Paris, éd.Bourin, octobre 2009.
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