Accueil de Jean-Pierre Chevènement, Président de la Fondation Res Publica, au colloque « Que peut faire la France en Afrique subsaharienne ? » du 15 décembre 2014.
A priori la réponse serait : « Elle peut peu ! », tant la diversité de l’Afrique, son immensité s’imposent à l’évidence. Pourtant elle fait beaucoup. Son action est-elle soutenable dans la durée ? Quels sont ses objectifs ? Ce sont les questions auxquelles nous allons essayer de répondre.
Nous recevons ce soir plusieurs intervenants éminents :
– M. Georges Courade, géographe, a été directeur de recherches à l’Institut de recherche pour le développement (IRD). Il est l’auteur de l’ouvrage « Les Afriques au défi du XXIème siècle » (Belin, 2014).
– M. Antoine Glaser, ancien directeur de la Lettre du Continent, a récemment écrit un livre intitulé « AfricaFrance. Quand les dirigeants africains deviennent les maitres du jeu » (Fayard, 2014).
– M. Stéphane Gompertz a été notre ambassadeur en Éthiopie, siège de l’Union africaine (ex Organisation de l’Unité Africaine). Il fut directeur de la direction Afrique et Océan Indien au ministère des Affaires étrangères.
– Enfin, Bernard Cerquiglini, linguiste, spécialiste de la langue française, a travaillé à mes côtés au temps lointain où nous faisions les programmes de l’école élémentaire. Il est Recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) dont je salue dans la salle Monsieur le Vice-recteur à la vie associative et à la coordination des régions, M. Emile Tanawa.
La géographie étant une excellente manière de cadrer le sujet, je donne la parole à M. Courade,
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Le cahier imprimé du colloque « Que peut faire la France en Afrique subsaharienne ? » est disponible à la vente dans la boutique en ligne de la Fondation.
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