Accueil par Jean-Pierre Chevènement

Accueil de Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica, au colloque du 22 juin 2009, Où va la Pakistan ?

L’an dernier, nous avions décidé d’inscrire le Pakistan à notre programme, pour en faire le thème d’un colloque parce que ce pays mal connu pouvait paraître comme un objet chaud des relations internationales. Aujourd’hui, il est devenu un objet incandescent, un des principaux problèmes dans les relations internationales et mérite une approche aussi scientifique, aussi raisonnée que possible.

Je tiens à remercier très chaleureusement les chercheurs, les experts, les diplomates qui se sont réunis pour nous aider à voir clair dans ce qui se passe aujourd’hui au Pakistan.

J’ai le grand plaisir et l’honneur d’accueillir :
Madame Mariam Abou Zahab, chercheur au CERI et chargée de cours à l’INALCO ;
Madame Amélie Blom, chercheur associé au département de sciences sociales de la Lahore University of Management Sciences ;
Monsieur Loïc Hennekinne, ambassadeur de France, ancien Secrétaire général du Quai d’Orsay qui fut ambassadeur au Japon, en Indonésie et connaît bien le Vietnam. Il est un bon spécialiste des questions asiatiques ;
Monsieur Jean-Luc Racine, directeur de recherche au CNRS, chercheur au Centre d’études de l’Inde et de l’Asie du Sud à l’EHESS ;
Enfin, Monsieur Max-Jean Zins, chargé de recherches au CNRS et au CERI.

Tous nous parleront du Pakistan, chacun abordant le sujet à sa manière.
Monsieur Max-Jean Zins sera convié à traiter du Pakistan, « un Etat mal né », né dans la tragédie. La tragédie n’est-elle pas au fond de l’Histoire ?
La société pakistanaise sera présentée par Madame Mariam Abou Zahab tandis que Madame Amélie Blom parlera de l’armée.

Nous avions pensé inviter l’ambassadeur Charasse. Empêché, il m’a adressé une lettre que je vous lirai.
Loïc Hennekinne nous parlera de l’AFPAK, terme inconnu il y a un an qui désigne l’ensemble des problèmes qui tournent autour du Pakistan et de l’Afghanistan, si tant est qu’on ne puisse pas traiter séparément l’un et l’autre, ce qui serait souhaitable.
Monsieur Jean-Luc Racine nous parlera de la question du Cachemire et, plus généralement, des rapports indo-pakistanais
Enfin je vous dirai quelques mots de l’arme nucléaire pakistanaise et du contexte nucléaire Pakistan-Inde.
Enfin, nous passerons au débat.

Je remercie tous les intervenants et particulièrement Madame Amélie Blom qui est venue de Lahore pour être parmi nous.
Je donne la parole à Monsieur Max-Jean Zins qui évoquera la naissance difficile du Pakistan.

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